19/10/2014

Liste des techniques de Judo Kodokan

Comme de nombreux autres arts martiaux, le Judo Kodokan fondé par le Grand Maître Jigorō Kanō, comprend une liste de techniques que les étudiants doivent apprendre et maîtriser pour gagner les rangs supérieurs. Le judo par lui même, comprend un nombre de techniques plus importants, grâce aux apports des autres budō. Ici, vous trouverez la liste complète des techniques enseignées dans le style Kodokan.

Le Kata-Guruma - technique de projection roulée par les épaules

Mise au point lors des sessions randori de Tenjin Shin'yo Ryu par le grand maître de Judo Jigorō Kanō, cette technique de projection consiste à attraper l'adversaire an passant un bras entre ses jambes, puis le soulever en le portant sur les épaules, tout en balançant dans le sens du mouvement, de sorte que l'adversaire effectue littéralement une roue en l'air pour atterrir sur le dos.

Jigorō Kanō et la naissance du Judo

Jigorō Kanō (28/10/1860 - 04/05/1938) est le maître inventeur du Judo, l'art de la souplesse, dont il a créé et enseigné les bases à partir de 1882. Pour ce brillant étudiant en sciences politiques, cette nouvelle discipline n'a pas pour but, comme les anciens arts combattants, de se battre contre d'autres ou contre soi, mais d'enseigner à l'homme, à s'épanouir et s'intégrer à la société pour servir l'humanité. C'est ainsi que sont enseignés avec les techniques, de nombreux principes de vie et les réflexions qui amèneront l'élève combattant à s'élever physiquement mais aussi spirituellement pour améliorer ses techniques, mais aussi sa vie et également celles de ses concitoyens.

17/03/2014

Techniques de coup de poing

Le coup de poing (punch) est un coup frappant (par opposition, par exemple, aux coups tranchants ou aveuglants) qui se réalise avec les doigts de la main repliés. C'est l'une des attaques de bases de nombreux arts martiaux, la seule autorisée parfois.

16/03/2014

Catégories de coup de poing

Le coup de poing est une catégorie de frappe donnée avec les doigts repliés, dont il existe de nombreuses techniques. Cette catégorie de techniques est très utilisée en tant que mouvement offensif dans les arts martiaux, parfois de façon exclusive, comme dans la boxe anglaise, où c'est le seul type d'attaque autorisée.

13/03/2014

Helio Gracie, le grand Maître du Jiu Jitsu brésilien

Les arts martiaux constituent un monde en soi, dont les pratiquants connaissent et reconnaissent les champions, les grands maîtres, les artistes véritables. Parmi ceux-ci, un combattant hors pair dont l'apparence ne laisse rien voir de son immense talent, Helio Gracie, l'une des étoiles les plus brillantes des arts martiaux contemporains.

12/03/2014

5 idées reçues à propos des gladiateurs

Les gladiateurs sont parmi les premiers exemples de combattants s'affrontant dans une arène à des fins de spectacle, ils sont donc parmi les premiers dont on a relevé et vanté les exploits. Mais comme ce sont les plus anciens, ces relevés ont été sujets à de nombreux débats, et furent sources de nombreuses erreurs de jugement ou de traduction, qui, au fil des ans, ont été rectifiées par les historiens... mais sont toujours ancrées dans la conception commune que tout un chacun se fait des gladiateurs.

Top 10 des plus célèbres combattants gladiateurs de la Rome antique

Les gladiateurs furent les guerriers parmi les premiers dont l'activité fut réglementée à la manière, à la fois d'un métier, d'un statut social, d'un sport (mais évidemment pas souvent un sport de loisir). A ce titre, les gladiateurs furent également les premiers combattants à susciter l'enthousiasme des foules, pour le combat en temps que spectacle.

Catégories et types de mouvements en arts martiaux

On peut classifier les mouvements en arts martiaux selon plusieurs catégories distinguant, par exemple, le but du mouvement, la durée de celui-ci, la complexité ou les avantages qu'ils procurent. Distinguer ces mouvements permet de reconnaître en quelles occasions il est bon de les utiliser ou de les laisser de côté.

11/03/2014

Quelques conseils basiques de self défense au quotidien

Il y'a de nombreuses manières selon lesquelles une personne peut se défendre ou se préparer à une situation dangereuse. Certaines évidentes, mais qu'il est bon de rappeler, d'autres, non. Apprendre ou garder à l'esprit ces technique de protection est nécessaire à tout individu qui se préoccupe de sa sauvegarde et de son bien-être.

Les meilleures tactiques de self-defense pour battre quelqu'un de plus fort

Si vous n'êtes pas aussi fort que votre assaillant , la chose la plus facile à faire et c'est généralement ce que l'on fait, consiste à paniquer. Heureusement, si vous avez appris les bonnes tactiques d'autodéfense pour ce type de situation, votre adversaire sera alors loin d'être aussi intimidant . 

La clé pour se sortir de cette douloureuse situation, c'est de s'assurer au préalable que votre entraînement de self-défense vous a enseigné les mouvements spécifiques qui requièrent de la puissance (et non de la force brute) et ceux qui vous permettent d'user du terrain et de la mobilité à votre avantage.

Voici quelques éléments à garder à l'esprit si vous cherchez de nouvelles façons de vous défendre, lors des situations dans lesquelles vous pourriez faire face à un opposant plus fort que vous ne l'êtes.

Puissance versus force

Pour bien comprendre en quoi l'apprentissage des mouvements basés sur la puissance peut vous aider à contrer la force, il faut bien comprendre les différences entre ces deux concepts.

Si un agresseur est plus fort que vous, cela signifie seulement, à priori, qu'il peut par exemple soulever plus de poids à la salle de musculation, ou exercer plus de pression sur un objet que vous.

En terme de tactiques d'auto-défense, cependant, la force n'est pas aussi importante qu'on le pense, principalement, par que force et puissance ne sont pas aussi étroitement liées qu'on le pense généralement. Aussi, la personne qui frappe le plus fort ne sera pas forcément celle qui fera le plus de dommage.

En fait, c'est justement la force de votre adversaire qui va déterminer votre style défensif, ici, basé sur la puissance, plutôt que, par exemple, la vitesse.

La mobilité

La puissance se développe grâce à la synchronisation des muscles et l'habileté du mouvement : il s'agit de l'ensemble du corps et des muscles du corps, agissant de concert. Meilleure est la synchronisation, plus grande est la puissance.

Dès lors, en choisissant des mouvements qui vous permettent d'ajouter la force de plusieurs muscles et les effets de plusieurs mouvements, vous pouvez surpasser la force de l'adversaire.

Vous pouvez également explorer les "mouvements d'égalisation" : il s'agit de mouvements qui vous permettent, quelles que soient la force et la puissance de l'adversaire, d'obtenir un avantage. Par exemple, donner des coups de pieds dans les genoux ou frapper un point de pression

Une autre chose à garder à l'esprit est l'évaluation de la rapidité des mouvements et des coups : les muscles longs (par exemple, ceux des jambes) développent beaucoup de force mais sont plus lents que les muscles courts. Les muscles courts, très rapides ne peuvent cependant pas être sollicités de nombreuses fois en un temps court. Développer la puissance et la vitesse vous permet donc de subjuguer rapidement un adversaire, ou de faire face à quelqu'un de plus fort. Toutefois, si vous vous entraînez (lors de l'entraînement), mieux vaut vous focaliser sur la force, qui pourra être utilisée plus longtemps, et la vitesse. Vous réduirez ainsi le nombre d'assaillant plus forts que vous, et aurez l'avantage de la vitesse à jeu égal de force.

La volonté de combattre pour la victoire en Street fight

Contrairement au domaine de la compétition, le combat de rue ne nécessite pas forcément un entraînement rigoureux et une parfaite maîtrise technique. Quoique ces deux points soient de sérieux avantages, la majorité des Street fights, sont remportés avant tout par celui qui à la plus forte volonté de vaincre.

Combat de rue : le telegraphing

Dans un combat en dojo ou en compétition, l'une des premières choses que l'on apprend à faire et d'observer l'adversaire. Observer peut signifier beaucoup de choses : repérer les appuis, les faiblesses, les mouvements, le contexte... En fait, l'observation regroupe un grand nombre de paramètres, et elle possède une part instinctive - qui peut jouer contre nous en combat de rue.

Street fight et Real fight : les coups de pied sont inutiles

C'est un peu dur à croire, mais dans un combat de rue, les coups de pied ne sont généralement pas très utiles, et sont en plus dangereux pour celui qui les donne. Au diable tous les films de karate dont vous vous êtes abreuvés dans votre enfance, n'en croyez plus l'exemple : un coup de pied, c'est difficile à placer, ça déséquilibre, et ce n'est pas aussi puissant qu'on pourrait le croire.

Street fight et Real fight : éviter l'usage du poing direct

Comme expliqué précédemment, vos doigts sont très fragiles, surtout à froid. Un coup de poing mal placé et votre main sera rendu inoffensive et incapable de vous protéger correctement. Et comme expliqué précédemment aussi, lorsque vous entreprenez d'envoyer un coup de poing, ce sera d'instinct dans la tête de l'adversaire, qui, réagissant également à l'instinct, protégera sa face en mettant par ailleurs bien en évidence son crâne. Moralité, il est probable qu'un banal coup de poing atterrisse sur le crâne de votre adversaire.
 
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